Le politicien Venâncio Mondlane a été accusé par le Service du Mozambicain Prosecution de cinq crimes, dans le contexte des manifestations post-électorales, notamment l’incitation à la désobéissance collective et l’instigation au terrorisme, il a révélé le sien au départ du bureau du procureur général (PGR).
Compte tenu d’un solide appareil de police, avec le siège de PGR, à Maputo, interdit à la circulation automobile et piétonne, et avec des éléments du procureur pour le recevoir à l’entrée avec des gilets antibale, l’ancien candidat présidentiel a expliqué, après 30 minutes pour recevoir la notification, qui est en procès, avec le soutien d’une « équipe internationale » de « Awareness Quiet Awareness ».
« Au contraire, j’ai fourni un excellent service à cette nation. C’est la première fois en 30 ans de démocratie où nous avons pu prendre à l’extrême pour démêler, retirer le voile de la fraude. Élections générales du 9 octobre.
« J’ai rendu un excellent service à ce pays. Et pas seulement. C’est la première fois depuis l’indépendance nationale que le peuple mozambicain chante l’hymne national et ressent le pays, estime qu’il appartient à un pays, se sent fier d’être Mozambicain, le tout pour moi un excellent service rendu à l’hathiel », a déclaré plusieurs mois de protestations post-électriques dans Mozambique.
Entendu pour la troisième fois
Venâncio Mondlane a maintenant été appelé au PGR, pour la troisième fois, dans le contexte des manifestations post-électorales, et le procureur a maintenu l’identité et le terme de résidence au politicien, en tant que mesure de la coercition, selon le politicien, à partir, à assurer la « conscience tranquille » et que le « moment ne doit pas s’échapper ».
Le Mozambique vit depuis les élections d’octobre un climat de forte agitation sociale, avec des manifestations et des arrêts appelés par Mondlane, qui rejette les résultats électoraux qui ont donné à Victoria à Daniel Chapo, soutenu par Frelimo, un parti au pouvoir, en tant que cinquième président de la République.
Selon des organisations non gouvernementales qui accompagnent le processus électoral, environ 400 personnes ont perdu la vie à la suite de la confrontation avec la police, ainsi que de détruire le patrimoine public et privé, le pillage et la violence, les conflits qui ont cessé après les réunions entre Mondlane et Chapo les 23 mars et 20 mai, avec une vue de la pacification du pays.
Accès à PGR dans Maputo Cortado
L’accès automobile au bureau du procureur général (PGR) à Maputo a été fermé aujourd’hui par la police mozambicaine, une heure avant l’arrivée prévue du politicien Venâncio Mondlane à entendre, avec un renforcement de la police dans la région.
Le trafic sur Vladimir Lenin Avenue, dans le centre-ville et le seul accès de la ville au siège du PGR, a été fermé vers 9h00 local (moins une heure à Lisbonne), après la dissuasion de la police, comme un réservoir d’eau, et quelques dizaines d’agents, y compris l’unité d’intervention rapide et les brigades kinotechniques.
« Je serai présent, avec une conscience silencieuse. Je veux aussi vous prouver qu’il n’y a jamais eu, pour ma part, un danger d’évasion. J’ai eu plusieurs occasions à l’étranger et à ne pas revenir. Et même contraire à la volonté des gens, je dis qu’en ce moment n’est pas un moment pour s’échapper. Mondlane, dans les déclarations de Lusa, lundi, après quelques semaines en Europe, en contact au Portugal et en Allemagne.
