Au Mozambique, des vulgaristes du projet agricole déjà éteint maintiennent des retards dans le paiement des salaires et l’absence de droits du travail. Le parrainage Nhanombe révèle: « Nous n’avons aucune assurance, nous n’avons rien, nous travaillons sur la chance de Dieu. »
Le contrat du projet agricole le plus célèbre du pays avec ces professionnels, qui fournissent une assistance aux agriculteurs sur le terrain, se termine maintenant en juillet, et le chômage est ce qui les attend – une situation qui laisse désespérément le parrainage.
Récemment, une vidéo a circulé sur les réseaux sociaux où les professionnels ont poursuivi le directeur national de l’agriculture, Adélia Magaia, pour exiger leurs salaires. Dans une interview avec DW, le parrainage Nhanombe, le vulgariste de Sustaina, dit qu’il se sent « usé ».
ENTRETIEN
DW Africa: a récemment diffusé une vidéo sur les réseaux sociaux dans lesquels des vulgaristes soutiennent l’ancien directeur national de l’agriculture. Que s’est-il passé exactement à ce moment et qu’est-ce qui a motivé cette action?
Parrainage Nhanombe (PN): Cette vidéo faisait référence au retard des salaires. Nous étions avec trois mois de retard de salaire et nous revendions vraiment nos droits à l’ancien directeur national de l’agriculture, qui est Mme Adélia Magaia. Mais après avoir circulé cette vidéo, il n’a même pas passé trois semaines avant la régularisation de la situation salariale.
À l’heure actuelle, la situation salariale est régularisée. Nous attendons juste les deux derniers mois de dette – juin et juillet.
DW Africa: Ces retards étaient-ils constants dans le maintien du maintien?
PN: Oui. Chaque année, depuis le début du projet, nous n’avons jamais été payés régulièrement les salaires. Chaque année, il y a eu des retards de deux ou trois mois. Il n’y a jamais eu de régularité dans le paiement des salaires.
DW Africa: Vous avez été informé que vous avez soutenu. Vos droits du travail sont-ils sauvegardés?
PN: Non. Ils n’ont jamais été sauvegardés, et non. Nous n’avons jamais eu d’assurance, de santé ni à risque. Nous n’avons pas d’assurance, nous n’avons rien. Nous travaillons vraiment sur la chance de Dieu.
Si vous avez un accident, vous devez financer vos propres dépenses jusqu’à ce que l’amélioration et les pouvoirs retournent en service. Si un collègue perd la vie, il n’a pas droit à la subvention funéraire, ni à aucun autre droit.
DW Africa: Avez-vous déjà organisé la justice en justice?
PN: Non. Plus précisément, ici dans ma province, cela ne s’est pas encore produit. Je crois que cela aussi dans les autres provinces parce que je n’ai vu aucune la une des journaux ni aucune mention dans les groupes WhatsApp – parce que nous sommes de nombreux collègues et nous avons des groupes sur WhatsApp, même à Maputo. Nous n’avons pas encore organisé pour cela.
DW Africa: l’éteinte le soutient, les extendus et tous les autres liés au projet vont au chômage?
PN: Oui. Immédiatement.
DW Africa: Le ministère de l’Agriculture n’a-t-il aucun projet qui peut inclure leurs collègues, les étendus étendus?
PN: Non. Pour le moment, les lignes directrices que nous avons indiquées qu’il n’y a pas de projets en cours où nous pouvons être intégrés. Nous attendons toujours les deuxièmes directives des supérieurs, mais à ce moment, il n’y a pas de projet prévu pour nous. Il n’est qu’en étude.
DW Africa: Quel a été le grand gain que le parrainage Nhanombe a vu en soutien au cours de ces quatre années quand il y a travaillé?
PN: Dieu merci, j’ai eu un peu de gain. J’ai appris à travailler avec les agriculteurs, j’ai perfectionné ce que j’ai appris de mon portefeuille avec la pratique, parce que je ne savais vraiment pas. Nous apprenons beaucoup en théorie en ce qui concerne la pratique n’est pas la même. C’est vraiment un contraste. Donc, dans la pratique, j’ai beaucoup appris. Je sais déjà produire dans les petites et grandes zones. Je sais ce qui est nécessaire pour se développer professionnellement. Et pas seulement. Les producteurs ont également beaucoup appris de moi, de notre soutien, de notre surveillance et de notre assistance, car c’était une assistance intégrée, où nous avons dû rencontrer quotidiennement le producteur et expliquer ce qui lui était nécessaire pour produire en toute sécurité.
DW Africa: À votre avis, quels sont les points négatifs de Sustaina?
PN: Le problème des mainticules est que lorsqu’il est arrivé, il est arrivé très fortement pour tirer parti des producteurs de la région. Mais cela ne s’est produit que dans les premières années, lorsqu’ils ont apporté des contributions à l’appui. Ils ont apporté des tracteurs, des engrais, des graines améliorées. Mais ces dernières années, surtout ici dans la province de Gaza, c’était difficile. Le producteur ne peut pas produire pour lui-même. Ne peut produire que pour manger.
Donc, lorsque vous n’avez aucun soutien, le producteur se sent abandonné. Et pas seulement. Chez Regadio, nous avons également des problèmes. L’irrigation n’est pas en position. Par conséquent, le producteur, lorsqu’il n’a pas un tel soutien du gouvernement, lorsqu’il n’a aucune contribution pour être en mesure de tirer parti, devient difficile, car le producteur n’a pas d’argent pour pouvoir acquérir des semences ou des engrais de qualité pour lui fournir de bonnes performances.
