Anamola, nouveau refuge de dissidents de Renamo?

Anamola, nouveau refuge de dissidents de Renamo?

Plusieurs anciens guérilleros de Renamo quittent le parti pour rejoindre le projet politique de Venâncio Mondlane, selon DW dans Quelimane, par exemple. L’Alliance nationale pour un Mozambique libre et autonome (Anamola) apparaît comme une « nouvelle maison » pour les critiques d’Ossufo Momade, accusée de « couler » Renamo.

Président de la résistance nationale mozambicaine, Momade a accusé certains membres du week-end de complot en tête du parti.

André Matsangaissa Júnior, ancienne guérilla et fils du fondateur de la deuxième plus grande force de l’opposition, a réagi avec une critique sévère, accusant la maman de favoriser la discorde dans le but de rejeter les membres historiques du parti.

Le président de Renamo, Ossufo Momade, a accusé certains membres du parti de comploter pour usurper la direction de la deuxième plus grande force d’opposition au Mozambique. Ces déclarations ont intensifié les tensions dans la «famille de perdrix», appelée SO.

André Matsangaissa Júnior, ancienne guérilla de Renamo et fils du fondateur du parti, accuse Momad de semer la discorde afin de forcer l’abandon d’une formation politique historique par certains membres.

Dans une interview avec DW, Matsangaissa Júnior, actuellement dans la province de Manica, dénonce également la persécution des militants qui ne sont pas d’accord avec le leadership.

DW Africa: Quel est l’état actuel de Renamo démobilisé?

André Matsangaissa Júnior (AMJ): La santé des guerriers est vandalisée, les conditions des guérilleros de Renamo ne sont pas bonnes. Ce qui a été écrit pour que les démobiliers reçoivent en tant que pension n’est pas cela.
Au Mozambique, une guerre démobilisée qui provient de Renamo reçoit 1700, deux mille et trois mille meticois (équivalent à 23, 27 et 40 euros, respectivement). Cette personne s’est battue pendant 16 ans et c’est cette personne qui s’est battue pour la démocratie, mais nous n’avons pas quelqu’un qui sent de discuter, de s’en plaindre.
Moi, André, à ce jour, je n’ai pas de pension. Mais lorsque nous appuyons et parlons de pension, nous sommes des noms attribués à la direction du parti. Même ceux qui nous donnent des noms, en plus d’être le gouvernement qui est sur le point de payer, est le président Ossufo Momade lui-même. C’est effrayant. Nous sommes totalement marginalisés, nous, les guérilleros de Renamo.

DW Africa: Pensez-vous que le leadership de Renamo n’a pas réussi à défendre les anciennes guérilleros? Que demandez-vous vraiment du leadership actuel?

AMJ: Le président Ossufo Momade, si c’était quelqu’un qui avait entendu entendre, entendait. Mais il n’entend pas. Guerrillas juge le leadership incompétent. Elle ne peut pas défendre sa propre démobilisation, ne peut pas défendre son propre parti. Avec chaque sans terre, le président sort devant la télévision en disant que tel ou tel, Beltrano et Sicrano sont sur le point de retirer son parti.

Ma perception est qu’il disait que ceux-ci-et – il a donc mentionné ceux qui ont le pouvoir de diriger le parti, il n’a pas. Comment a-t-il coûté d’appeler ces membres, de s’asseoir avec eux et de leur demander ce qui ne va pas? Ils, parce qu’ils sont membres de Renamo, diraient.
En tant que leader, s’attendait-il à ce que nous aimions tous ce qu’il fait?
Un leader expérimenté ne pouvait pas être nerveux, au contraire, il aurait tendance à être plus ami avec ces personnes pour entendre des conseils qu’ils récoltent de la population.

DW Africa: Y a-t-il des signes de rupture entre démobilisé et le parti Renamo? Les membres de Renamo seraient, par exemple, pour briser Ossufo Momade pour soutenir la nouvelle fête de Venâncio Mondlane, confirmer?

AMJ: Je ne peux pas être témoin de cela, et je ne peux pas dire. Pour être vrai, ces démobilisés peuvent être là pour deux raisons:
Il est membre et démobilisé de Renamo, mais Ossufo Momade lui-même ne peut pas se permettre sa pension. Il crée de plus en plus d’inimitié pour les membres pour aller à Venâncio Mondlane.
Le président Ossufo Momade ne semet pas la réconciliation, sentant le danger pour les membres de Renamo, donne des noms, des mensonges. Il est là avec son ami Sacuro Cardoso. Sacur, avec chaque jour qui passe, se trouve le gouvernement mozambicain à rencontrer cette personne, à l’arrêter et à la mettre en prison. Pour lui, c’est Hallelujah.

DW Africa: Quels changements considérez-vous comme essentiels pour retrouver la confiance des gens? Pensez-vous que Renamo peut encore récupérer la confiance des gens ou avoir déjà perdu le cours historique?

AMJ: La seule façon pour nous de récupérer notre peuple est de changer de leadership. C’est peut-être demain, il se peut que demain de mettre n’importe qui, il peut être un journaliste d’être pris et de le mettre là-bas comme le nouveau leader, sans nom dans le pays, l’est déjà.
Moi, comme André Matsangaissa Júnior, condamne beaucoup le gouvernement mozambicain pour agir Ossufo Momade et en être conscient pour gâcher Renamo. Lorsque les hommes de Renamo ont fermé le siège national, le gouvernement mozambicain lui-même est allé feu pour tuer. Ossufo Momade n’a même pas eu le temps de réagir.